From the bypassed refinery of Mark Teo:
When it comes to true-to-Olympia twee — and not the overblown, crow-footed orchestral pap that passes for it in modern eras — K Records got it right: Virtuosos need not apply. Love Cuts gets it, too. All clumsy jangle, crooked harmonies and reductive rhyme schemes, this Vancouver trio feels gleefully dilettante, creating pop confectionaries that bypass the refinery. The result? Charmingly sloppy drums give “Hi Smile Wave” the quality of a first-take track from Slumberland's early-game archives, while upbeat bouncers in “Lone Wolf” and “Mimes” hint at riot grrrl — without the grrr, of course. They hit their peak, however, on “I Will Kiss Anyone,” when ambling, drive-thru chord progressions collide with middle-school dance romance. Try to repress a smile. It's impossible.De la raffinerie évitée de Mark Teo: (Traduit par l’évitement raffiné de Maya Keshav)
En matière du kitsch fidèle à l’Olympe— et pas les bêtises pompeuses orchestrales de l’ère moderne— K Records y est arrivé: les virtuoses sont pas bienvenues. Love Cuts y arrive, aussi. Avec le cliquetis maladroit, les harmonies tordues et les motifs réductionnistes de rime, ce trio de Vancouver a l’air joyeusement dilettante, en créant les confiseries de pop qui évite la raffinerie. Le résultat? La batterie délicieusement bâclée donne à “Hi Smile Wave” la qualité d’un morceau premier jet des débuts des archives de Slumberland, alors que les morceaux entraînants et optimistes dans “Lone Wolf” et “Mimes” puisent un peu dans les ondes de riot grrrl— sans le grrr, bien sûr. Ils atteignent leur sommet, par contre, avec “I Will Kiss Anyone”, quand les séries de cordes errantes et drive percutent l’idylle d’une danse d’école sécondaire. Essayez de retenir votre sourire. C’est impossible.