From the sowing memories of Joshua Robinson:
Louise L’Amour beautifully navigates the space between the past and the present; the captain of the spectral dusk and the eager morning. Opener “Desert Bird” sets the stage for sowing memories, pockets filled with reckless abandon and the seeds of caution; where the summer days bleed into one another and on into the autumn. With this, Cowgirl Slop Pop is wise beyond its age. Like its bizarre-o world (almost) namesake, it is music that will linger in the fields, on the roads, and in the yards, where and when friends were friendly. There’s a rustic call to small town alt-folk hanging in the air, sweetening the evening and mending broken heartstrings.
Des semences de souvenirs de Joshua Robinson: (Traduit en vagabondant par Hugo Hyart-Dauvergne)
Louise L’Amour navigue gracieusement entre passé et présent, capitaine du crépuscule spectral et du matin langoureux. Les poches pleines d’abandon insouciant et de graines de prudence, « Desert Bird » en ouverture sème à la ronde les souvenirs là où les jours d’été saignent les uns dans les autres jusqu’à l’automne. La Cowgirl Slop Pop s’avère plus sage que son âge ne le laisserait présager. Comme son (presque) homonyme d’un monde ô combien bizarre, elle compose de la musique qui s’attarde dans les champs, sur les routes et dans les cours, à une époque où les amis l’étaient encore. Un air rustique d’alt-folk des bourgs flotte dans l’air, adoucit les soirées et raccommode les fils cassés du cœur.