From the chimerical yarn of Jessica Faulds:
Oh man, this tape has everything a hollow-toothed pop sucker could want. Sweet crooning, elastic guitar work, qwerty percussion, a waltzified Kinks cover, dinky keyboards, a touch of Tim Buckley (maybe a couple slugs of Buckley's), guest vox from best-kept-secret Jessica Jalbert, and above all, a craftsman's ear for song construction. The union of lyrics and (melodic) lines is no marriage of convenience, and the coupling births some extremely well spoken offspring. Take "Money in the Bank," a complete parable on the transience of local celebrity in two and a half minutes, or "Long Year", a tangled, chimerical yarn. The tape also comes with a Wing's Fortune. Mine says: "Someone is speaking well of you." Well, ditto, Mr. Trimble.De la conte chimèrique de Jessica Faulds: (Traduit par l’horoscope de Maya Keshav)
Fiou, cette cassette contient tout ce qu’un fan aux dents creux de pop pourrait désirer. Le chantonnement doux, les riffs élastiques de guitare, la qwertybatterie, une reprise valsifiée de Kinks, les claviers mignons, un peu de l’air de Tim Buckley (peut-être quelques lampées de Buckley's), la voix invitée du secret le mieux gardé Jessica Jalbert, et surtout, une oreille d’artisan pour la construction des chansons. Le mariage des paroles et des mélodies n’est pas celui de convenance, et le jumelage donne naissance à une progéniture tellement éloquente. Par exemple, “Money in the Bank” est une parabole complète à propos de la nature éphémère de la célébrité du coin dans deux minutes et demi, et “Long Year”, c’est une conte enchevêtrée et chimèrique. La cassette est accompagné d’un horoscope. Le mien se lit: “Quelqu’un dit du bien de toi.” Bien, pareil, M. Trimble.