From the love nest of Katie Jensen:
Percussion scatters like a stick dragged around the inside of a ridged tin can. Growling fingernails drag up coiled strings, arguing with whirring tape. Taut strings snap in a whiplash of stinging heat. The cacophony ends as quickly as it began. Clambering faces press against the glass. A twisted plastic bag crinkles slowly while a guitar stretches its legs. A low thunder of drumbeats hold council with sycophants of rewinding feedback. A howling voice grows from nothing before swallowing itself whole.
Du nid d’amour de Katie Jensen: (Traduit par les matines résonnantes de Marie-Pier Chevrier)
Des éclats percussifs comme un bâton que l’on frotte sur l’intérieur ondulé d’une conserve. Ongles grondants, traînants des cordes qui s’enroulent, débattant avec la bande magnétique qui frémit. Cordes raides qui cèdent dans un grand fracas de chaleur saisissante. Et la cacophonie qui se termine aussi vite qu’elle a commencé.
Des visages déformés, écrasés contre la vitre. Un sac de plastique froissé se tord lentement alors qu’une guitare s’étire les jambes. Un sourd tonnerre de tambours délibère avec les adorateurs des feebacks rembobinés. Une voix grondante naît du néant et grandit jusqu’à s’avaler en entier.