From the melancholia of Jonathan Park:
Close your eyes. Imagine yourself sitting on a pew in an empty basilica. Deafening silence. Slow moving strings stray from each wall of this large chamber. With each passing second, you feel more alone than you’ve ever felt. Your sadness will grow as drones formulate. It will become unbearable, but you will break emotional constraint; something you’ve been trying to overcome. Through the inner-most tranquil states of mind, you will glide. This is the moment you realize your sadness is infinite, but you’re content with it being so.
De la mélancolie de Jonathan Park: (Traduit par Le Berger)
Fermez les yeux. Imaginez-vous assis sur un banc dans une basilique déserte. Silence assourdissant. Des cordes se mouvant lentement s’éloignent de chaque mur dans cette large chambre. Avec chaque seconde qui passe, vous vous sentez plus seul que jamais auparavant. Votre tristesse s’accroîtra à mesure que le timbre continu se formera. Elle deviendra insupportable, mais vous briserez cette contrainte émotive; quelque chose que vous avez tenté de surmonter. Au sein du plus tranquille des états d’âme vous vous glisserez. C’est à ce moment que vous réalisez que votre tristesse est infinie, mais vous êtes content qu’il en soit ainsi.