From the 2D nerve cluster of Adam Bradley:
It starts by summoning the nerve cluster of a NES last boss battle: 2D shifting skillfully along electric planes. Then cuts in the voice, sounding drawn from the moment Piano Magic’s Glen Johnson realized the world ain’t so perfectly grim. Crispily sizzling tumble-drums hum, hollowed out oil drum synthesizers thrum. A wide-eyed urgency exists here, vibrating with imperative grace. A joyful darkness, wrenched from a disaffected, Wintery generation.
De l’amas nerveux en 2D d’ Adam Bradley: (Traduit par l’ampoule sur le pouce de Jessica Grenier)
Ça commence en faisant appel à l’amas nerveux du combat contre le dernier boss sur NES : en manœuvrant habilement en 2D à chaque niveau électrique. Puis une voix apparait, comme tirée du moment où Glen Johnson de Piano Magic a réalisé que le monde n’était pas complètement sombre. Crissement crépitant de batterie bourdonnante, vrombissement d’anciens barils à pétrole devenus synthétiseurs. Ici, il y a une urgence, les yeux écarquillés, qui vibre d’une grâce impérative; une obscurité joviale, arrachée à une génération hivernale désabusée.