From the porcelanic terrestrialism of Joshua Robinson:
Experimental folk that dances with the sublime, Kathleen Yearwood’s Hunt The Circle inflects the seasoned soul of our northernly banshee as whisked winds and puddle streams pour from the mouth that swallows the blemishes of our earthenware speculums. Yearwood is both songstress and magician, casting spells as wide as the dark and dividing night, and as poignant as the first breath of life. This release is purely telluric, reminding us of our connection to the great void that we call home and the even greater expanse of our humanity, begging for our recognition of what being human encompasses.
De la porcelaine terrestre de Joshua Robinson: (Traduit part Andréanne Dion)
Du folk expérimental qui danse avec le sublime, Hunt The Circle de Kathleen Yearwood afflige l’âme expérimentée de notre banshee septentrionale, alors que des vents fouettés et des flots de flaques se déversent de la bouche qui avale les imperfections de nos speculums de faïence. Yearwood est à la fois chanteuse et magicienne, jettant des sorts aussi loin qu’aux frontières de la nuit noire et aussi poignants qu’un premier souffle. Cet album est purement tellurique, nous rapellant notre connection à l’immense vide que l’on apelle notre maison et à l’étendue encore plus grande de notre humanité, demandant que l’on reconnaisse ce qu’être un être humain veut dire.