From the alphabet erasure of Javier Fuentes:
Fluencies and poetries, where to begin? Should the judges come in? To recognize sound, to recognize speech, the voice might speak. Can we get an opinion on the rules of its dominion? The silence speaks volumes, reciting alphabets in record speed. The sharpest voices keep up, giving up at the point of clear confusion. Slow turns towards debris, now there are traces to hear. Pick up the feel. Memories of treasure are fresh, hiding out in the dust around here. The musicians are ready. Some think they are lost, but the conversation is steady.De tout effacement de l’alphabet de Javier Fuentes: (übersetzt para l’anglophone Влади́мирович Bабо́ков)
La fluidité et la poésie: par où commencer? Est-ce qu’on doit appeler les juges? Afin de reconnaître le son et afin de reconnaître la parole, c’est avisé que la voix s’exprime. Qui peut fournir une opinion des règles de son dominion? Le silence parle fort et énonce l’alphabet dans une vitesse record. Les voix les plus aiguës maintiennent la vitesse et s’abandonnent seulement au moment d’une confusion certaine. La lenteur se tourne vers les décombres. Maintenant, il y a des traces à entendre. Cherchez le sentiment. Les mémoires du trésor sont fraîches, se cachant dans la poussière autour de nous. Les musiciens sont prêts. Certaines croient qu’ils sont perdus, mais la conversation se poursuit.