From the chromatic maelstroms of Joshua Robinson:
Justin Scott Gray enlivens his post-folkloreisms with a battering exactitude that splits the circumference of the space before our eyes, sewing to quilted earth the intimated fabrics of a corporeal sojourner; one who has walked with the rattle and hum of the silent bombast that sits in the bottom of chests springing forth from mouths as a kaleidoscopic maelstrom of tonal chromaticity. And when our deciduous selves turn from hue to hue, the seasonalities by which we temper our malleable exteriors will draw from the soil underfoot the trills that intone our axial tilts.
Des maelströms chromatiques de Joshua Robinson: (Traduit par Jessica Grenier)
Justin Scott Gray éclaire son post-folklorisme d’une exactitude sans merci qui vient scinder la circonférence de l’espace sous nos yeux avant de coudre une douillette terrestre sur le tissu personnel d’un visiteur charnel; celui qui a marché avec le cliquetis bourdonnant de la grandiloquence silencieuse – celle qui est étendue au fond des coffres surgissant des bouches telle la version kaléidoscopique d’un maelström de sonorités chromatiques. Lorsque nos êtres caducs passeront d’une teinte à une autre, la saisonnalité à laquelle nous adaptons nos extérieurs malléables tirera du sol les roulades entonnées par nos penchants axiaux.