From the comyn-spiced balconies of James Goddard:
This EP from Edmonton's Jom Comyn (sometimes Jim Cumming) speaks to the concerns of young adults in the 21st Century - I mean actual young adults, not the browsers of Gordon Korman - unemployment, cigarettes, sloppy romances, late-nights, and (of course) almost condemned balconies. The guitars carry the tunes lethargically; apathetic tones, sketchy feedback, and non-committal fuzz over dusty, stilted drumming. Jom's vocals shine through the nest like a retired lounge singer; an odd, weathered voice spouting the words of a quarter-life savant. "You don't know what you are doing until years after it's through." On Sunday morning, in a hungover haze, it all sounds like it might be the truth.Des balcons au cumin de James Goddard: (Traduit par les idylles sentimentales de Maya Keshav)
Cet EP de Jom Comyn (parfois Jim Cumming) d’Edmonton exprime les soucis des jeunes adultes du au vingt et unième siècle — je veux dire les vrais jeunes adultes, pas les personnages de Bryan Perro— le chômage, les cigarettes, les idylles sentimentales, les longues nuits, et (évidemment) les balcons presque condamnés. Les guitares chantent léthargiquement les mélodies; les tons apathiques, le larsen louche, et le duvet réservé au-dessus de la batterie poussiéreuse et guindée. La voix de Jom transperce le nid comme un ancien chanteur du lounge; une voix bizarre et burinée qui parle les mots d’un savant ayant une vigntaine d’ans. “You don’t know what you are doing until years after it’s through.” [Tu connais pas ce que tu fais jusqu’à ce qu’il soit quelques années trop tard.] Dimanche matin, dans le brouillard d’une gueule de bois, tout cela a l’air de vérité.