From the contaminated softness of Aaron Levin:
Huge late-pass on this monster groove. Between the subtle hushes of "cocaine love" and damaged guitar slank of "Larmes de crocodile" resides the sequenced genius of Jef Barbara. The subtle streams of pop consciousness run rampant in Barbara's work; somehow existing in a nether-genre equally perplexing as inastiable. Contamination's surreal jaunt through NRG minimalism will wreck the havoc of permanence as you clamour for softer heights amongst Montreal's erotic synth explosion (complete with cameos from Femminielli and JLK).De la douceur contaminée d’Aaron Levin: (Traduit par les larmes de Maya Keshav)
J’suis super en rétard avec cet énorme morceau. Entre les silences subtiles de “cocaine love” et la puanteur brisée de guitare de “Larmes de crocodile” reste le génie séquencé de Jef Barbara. Les flots subtils de conscience pop se répandent partout dans le travail de Barbara; d’une manière ou l’autre ils existent dans un mi-genre qui est aussi déconcertant qu’insatiable. La balade surréelle de Contamination à travers le minimalisme NRG va anéantir le chaos de permanence pendant que tu cries pour voir les hauteurs plus douces parmi l’explosion synthé érotique de Montréal (même avec les brèves apparitions de Femminielli et de JLK).