From the distorted cruise of Aaron Levin:
Sometimes it's just the feeling that perseveres. Not the delicate soundscape nor the sparing metaphor; just a pervasive memory lingering; echoes and ambers from the fires of pop and catch. "Black Horse" is a rare breed of languid summer burners and ethereal dissonance, capturing a bleary, pitch-shifted vision into one of the most enduring songs of the season. Bad Friend provides a welcomed balance to "Black Horse"'s minor-key nostalgia with the title track "Bad Friend": a distorted cruise through granular addiction and classic 90s jammery. An unsurprising favorite at the HQ. Grip+++.De la croisière déformée d’Aaron Levin: (Traduit par la nostalgie en mode mineur de Maya Keshav)
Parfois, il y a juste la sensation qui persévère. Pas le paysage délicat ou la métaphore parcimonieuse, juste un souvenir répandu qui reste; les échos et l’ambre des feus de pop et d’accroche. “Black Horse” est une espèce rare de succès langoureux d’été et de dissonance aérienne, qui saisit une vision troublée et transformée d’une des chansons les plus durables de la saison. Bad Friend fournit un équilibre bienvenue à la nostalgie en mode mineur de “Black Horse” avec la titre chanson “Bad Friend”: une croisière déformée à travers l’addiction granulaire et les tounes classiques des années 90. Un préféré sans surprise au QG. Achetez+++.