From the California dreams of Davita Guslits:
Have you ever fallen asleep with the radio on, and found your dreams dictated by the strange sounds of a late night experimental program? inland island’s second full length, MONOCULTURE..., may inspire the same phenomenon in the casual listener. Not without warning, though — the opening track clearly introduces Arthur Rosignol’s experimental leanings, with captured sounds preceding a dreamy folk tune. What follows are heart-tugging acoustic songs sprinkled with almost equal parts background noise as pulsing melody. The album culminates with the triumphant “Bugs in the Mums Reprise”, sure to shake you from the sentimental stupor you had no doubt succumbed to.
Des rêves californiens de Davita Guslits: (Traduit par Andréanne Dion)
Vous êtes vous déjà endormi la radio allumée, en découvrant que vos rêves étaient dictés par les sons étranges d’une émission expérimentale nocturne? MONOCULTURE..., le deuxième album complet de inland island, inspirera sans doute le même phénomène chez l’auditeur non averti. Pas sans avertissement cependant, puisque la chanson qui ouvre l’album nous fait découvrir les inclinaisons expérimentales d’Arthur Rosignol à l’aide des enregistrements sonores qui précèdent une chanson folk onirique. La suite est composée de chansons acoustiques sentimentales saupoudrées presque également de bruits de fond et de mélodies palpitantes. L’album se termine avec la triomphante « Bugs in the Mums » qui vous secouera certainement de la stupeur sentimentale à laquelle vous aviez sans doute succombé.