From the wishy-washy and misplaced stylings of Alec Lovely:
Industrial Priest Overcoats thrashes together a scrap heap of pulsing drums and unyielding riffs to create something broken, but functional. A feeling both foreign and familiar, like when it’s 3:29am and you’re alone in a park wanting to create something meaningful. A million exclamation points at the end of a night spent alone inside your own thoughts, wondering if anyone will look hard enough to see what you see. Sometimes we try to capture a feeling too knotted to untangle.
Des designs fades et malplacés d’ Alec Lovely: (Traduit par un sentiment emmêlé d' Odile Leclerc)
Industrial Priest Overcoats rossent ensemble un amas de ferraille de tambours battants et de riffs rigides pour créer quelque chose de brisé, mais fonctionnel. Un sentiment autant étrange que familier comme quand il est 3 h 29 du matin et que vous êtes seul dans un parc voulant créer quelque chose de significatif. Un million de points d’exclamation à la fin d’une nuit passée seul dans vos propres pensées vous demandant si quelqu’un va regarder assez attentivement pour voir ce que vous voyez. Parfois, nous essayons de capturer un sentiment trop emmêlé pour être dénoué.