From the curated soft-serve of Joshua Robinson:
Compelled to the point of happy-stance, these electro-experimenters exhume the currential bravado of B(oh)r-lesque ingenuity and cast it in the au courant veil of colorful modalities. What remains after the lull… those carapaces of lurid and languid evenings; everything as one flying reel of a memory of a night. Dirty Tapes has done it again, our (not-so) southernly compatriots curating the soft-serve beats oftentimes lost to the whirling overture of everything else that we northernlies have to offer. Beats as currency, the dollar at an all-time high.
Extrait de la conservation glacée-molle de Joshua Robinson: (Traduit par le tempo rubato cardiaque d’ Émily Traichel)
Contraints avec plaisir, ces électro-expérimentateurs exhument le bravado mouvant d’ingénuosité B(oh)r-lesque et le jette dans le voile de modalités colorées connu. Ce qu’il reste après l’accalmie… ces carapaces de soirées obscènes et languides; des souvenirs qui passent aussi vivement qu’une pellicule cinématographique. Dirty Tapes nous épate à nouveau, nos compatriotes du (pas si loin au) sud agencent les rythmes glacés-mous souvent perdus parmi l’ouverture tourbillonnante de tout le reste que nous les nordistes avons à offrir. Le rythme en tant que monnaie, le dollar plus élevé que jamais.