Du fatum élégiaque de Benoit Arcand:
Paysage dans la brume, les débris d’humanité révèlent un monde désenchanté. Nous ne sommes pas ici dans l’ornière du cliché post-apocalyptique, mais dans l’orbe de l’authentique révélation, sybilline et obvie. Le drone anthume de A Turn of Breath vous dépouille de toute ironie, de toute frivolité. En bon émule de la décadence, vous prenez ensuite place dans le char d’Hermès et montez à l’assaut de l’ineffable, muraille qui se donne à qui sait entendre. Alors vous verrez. Des ruines sans désespérance. La dignité dans le chaos. La grâce dans la voix humaine. La foi au bout du souffle.
From the elegiac fatum Benoit Arcand: (Translated by L. Langille)
A landscape in mist, humanity’s debris reveals a disenchanted world. We’re not here in the ordinary post-apocalyptic cliché, rather we’re in the sphere of authentic revelation, symbiotic, in the met-and-done-away-with. The authentic drone of A Turn of Breath strips you of all irony and friviolity. A good disciple of decadence, you then take the place on Hermes’ throne and mount the height of ineffability, a wall which gives to those who know how to listen. Then you see. Ruins without despair. Dignity in chaos. Grace of the human voice. Faith at the end of a breath.