From the blaaarrgh of Alec Lovely:
Edmonton’s i hate sex are a whirlwind of emotion, raw and unfiltered. Life can be overwhelming, draining, and sad, but there’s always comfort in the relationships - reminding yourself that they happened at all gives you solace, despite the cliches. The contrasting melancholic guitar riffs lay underneath the exasperated razor-edged vocals, and what’s left is brutally honest and executed to perfection. Feeling totally overwhelmed by everything around, you need to scream for help even if you don’t know what to say.
Du blaaarrgh de Alec Lovely: (Traduit par Julie Mayer)
Le quatuor d’Edmonton i hate sex est un tourbillon d’émotions, crues et non filtrées. La vie peut être accablante, épuisante et triste, mais il y aura toujours moyen de se consoler à travers les relations qu’on a tissées. Le fait de te rappeler que ces dernières ont eu lieu te réconforte, malgré les clichés. Les riffs de guitare mélancoliques et contrastants reposent sous une voix exaspérée aussi tranchante qu’une lame de rasoir. Ce qui reste est brutalement honnête et exécuté à la perfection. Te sentant totalement dépassé par tout ce qui est aux alentours, tu as besoin de crier au secours même si tu ne sais pas quoi dire.