From the slinking tendrils of JT Stephenson:
If you sonically fused James Chance’s vocals with Lydia Lunch’s delivery, threw it in a band with a fuzzier hybrid of Arto Lindsay and Mark Cunningham, and let Alan Vega call the production shots, you’d have an alienating brew of No Wave stew stirred by the godfathers and mothers themselves. Or, you’d have Border Area. These tendrils have slunk far from the ’70s and entwined around Hot & Cold, the ultimate host, and their brilliantly addictive opulent minimalism. The downstroke lethargy and drum machine apathy throughout is a humble testament to these psychic siblings’ neo No Wave genius.
Des vrilles furtives de Jessie Stephenson: (Traduit avec l’approche New Wave de Dominic Mpilé et de Nicolas Coutlée)
Si on fusionnait la voix de James Chance à celle de Lydia Lunch, qu’on ajoutait au groupe une sorte d’hybride plus fuzzé de Arto Lindsay et de Mark Cunningham et qu’on laissait Alan Vega aux commandes de la production, il en résulterait une bouillie aliénante de No Wave servie par les chefs eux-mêmes. Ou encore, on aurait Border Area. Ces vrilles se sont étendues bien au-delà des années 1970 pour s’entortiller autour de Hot & Cold, l’hôte ultime, et son génial minimalisme opulent et infectieux. La profonde léthargie et la machine rythmique apathique qui en émanent sont un modeste témoignage en l’honneur de ces frères et sœurs psychiques, génies du néo-No Wave.