From the zombie doo wop of Johnnie Regalado:
Gravez begins and ends like the transition from restless leg syndrome to rapid eye movement. It’s an album of dreamy existence where intertwining harmonies line the sides of an audio highway deep into a land where wastelands are prime real estate and zombies play doo wop at the homecoming dance. The ghastly afterlife vocals march you along like the piper, calling you deeper into the canals of your own ears. The guitars rattle back and forth like a creepy yet comforting barbershop quartet. Once you’ve entered their grave you won’t want to come out.
Du doo-wop de zombie de Johnnie Regalado: (Traduit par les terreurs nocturnes d’Andréanne Dion)
Gravez commence et se termine comme la transition entre des impatiences musculaires et un sommeil paradoxal. C’est un album d’existence chimérique, où des harmonies entrelacées revêtent les côtés d’une autoroute sonore dans les profondeurs d’un pays où les terrains vagues sont des investissements immobiliers de premier choix et où les zombies jouent du doo-wop au bal des finissants. Les terrifiants chants de l’au-delà vous entraînent comme un joueur de flûte, vous amenant de plus en plus loin dans vos propres conduits auditifs. Les guitares s’entrechoquent dans un va-et-vient qui rappelle un quatuor a cappella à la fois effrayant et réconfortant. Une fois que vous vous serez engouffrés dans leur tombe, vous ne voudrez plus en sortir.