From the mighty mitochondria of Mark Anthony Brennan:
It’s a glorious mess. Synths shoot laser bolts left and right as the singer screeches with the dubious clarity of a glam rocker. She tries to make herself heard above the sound of power tools, which are out of tune but melodious nonetheless. A red-raw shambolic blast of sheer fucking genius. Frankly, she sounds as if she could break your spine, but when she wails “I wish I were dead” you feel her pain. Homo Monstrous? It’s us. We are the monstrous species for permitting such pain. Yeah, you do have problems, kid. It ain’t fair.Par la toute-puissante mitochondrie de Mark Anthony Brennan: (Traduit par la sanglante bouffée bordélique d’ Émily Traichel)
C’est un glorieux désordre. Des synthétiseurs tirent au laser dans tous les sens tandis que la vocaliste hurle avec la clarté ambigue d’une glam rocker. Elle tente de se faire entendre au-dessus du boucan d’outils électriques, ceux-ci sonnant faux mais mélodieux malgré tout. Une sanglante bouffée bordélique de pur fucking génie. Franchement, elle a l’air de pouvoir nous casser le cou, mais lorsqu’elle gémit “I wish I were dead” on ressent sa souffrance. Homo Monstrous? C’est nous. Nous sommes la monstrueuse espèce qui permet une telle souffrance. Pour reprendre le titre de l’album, eh oui - t’as des problèmes, le jeune. C’est pas juste.