From the terminal suburbia of Pavan Brar:
Home Alone’s Teddybears & Weed moves with a hazy fluidity through the cycles of sleep. Soundwaves map out like shifting EEG patterns throughout the tape’s progression, each song emanating a synesthesiastic glow as every neural pulse reverberates with warm splashes of vibrant colors. Shoegazery and dream-pop tendencies collide and construct soundscapes of obscured vocals and delicate melodic riffs. A soundtrack equally suitable for sleeping in, or deprivation thereof.
De l'angoisse banlieusarde en phase terminale de Pavan Brar: (Traduit par la synesthésie qui pique du nez de Hugo Hyart-Dauvergne)
Teddybears & Weed de Home Alone se glisse avec une fluidité brumeuse à travers les cycles du sommeil. Les ondes sonores oscillent comme des tracés d’EEG tout au long de la progression de la bande, chaque chanson émettant son aura synesthétique d’impulsions nerveuses résonnant en touches chaudes de vibrantes couleurs. Les tendances dream pop et shoegazières se rencontrent et construisent des paysages sonores de voix obscurcies et des riffs mélodiques délicats. Une bande-son aussi adéquate pour la grasse matinée que pour le manque de sommeil.