From the synthpocalypse of Jessica Faulds:
If there exists such a thing as a virtuoso of synthesis, Holzkopf is it. In the live recordings that make up Sober Materials #2, he pulls at sine waves like taffy, twisting his tracks into vertiginous mazes of inner-ear confusion. "Still" opens with a single note being twisted into Mobius contours, as strata of frequency are sandpapered away and rebuilt. The album's piece de resistance is "Live at Madame Claude," a 20-plus minute improvised (!!!) sythpocalypse which layers machine-gun drums over a sandstorm of swirling textures and a sucking tar pit of deep, doom-laden bass whorls. It's the death of the dinosaurs all over again.De la synthépocalypse de Jessica Faulds: (Du dinosaure de Maya Keshav)
S’il y a quelque chose comme un virtuose de la synthèse, c’est Holzkpf. Avec les enregistrements live qui forment Sober Materials #2, il étire les sinusoïdes comme si elles étaient des bonbons, en tordant ses voies en les labyrinthes vertigineux de confusion à l’oreille interne. “Still” commence avec une seule note en train d’être tordue en contours de Mobius, pendant que les couches de fréquence sont poncées et reconstruites. Le clou de l’album est “Live at Madame Claude”, une synthépocalypse improvisée de plus de 20 minutes qui étale la batterie mitrailleuse sur une tempête de textures tourbillonnantes et une fosse de bitume des volutes lourdes et trempées de basse. C’est la mort des dinosaures une fois encore.