It’s hard to pinpoint any kind of hallmark in the ever-swelling body of Hobo errata, spawning endless outgrowths from the hyperactive hands of Cult leader Frank Ouellette. Yet one thing you can count on across the awe-inspiring multitude of multi-format releases, solo/collab projects and transfixing videos is a hazy atmosphere of unease filtering in like night terrors at the edges of sleep. The Color Exchange VHS feels like a culmination of sorts in its 30-minute voyage through the liminal realms of late night transmissions as pan and scanned visions of distressed facial close-ups, sinister statues and bikini-clad beach babes get the creeper treatment with a stomach-churning synth soundtrack to match. 50 copies! Get it while it’s hot…

C’est difficile de définir une quelconque sorte de marque dans l’éternellement corps enflant d’Hobo errata, faisant naître des excroissances infinies de mains hyperactives du leader de culte Frank Ouellette. Encore une chose sur laquelle vous pouvez compter à travers la multitude de sorties multi-format inspirante de fascination, des projets solo/ en collaboration et de vidéos pétrifiants est une atmosphère brumeuse de malaise s’infiltrant à l’intérieure comme des terreurs nocturnes aux bords du sommeil. Le VHS de Color Exchange est ressenti comme un genre de culmination dans son voyage de 30-minutes à travers les royaumes liminaux des transmissions tard dans la nuit alors que des plateaux et des visions scannées des conclusions faciales en détresse, de sinistres statues et des minettes de plage en bikini obtiennent le traitement d’obsédé avec une bande sonore de synth à qui retourne l’estomac à égaler. 50 Copies! Attrapez le pendant que c’est chaud…