From the hibernation stockpile of Johnnie Regalado:
The Himalayan Bear is the way west coast version of the Yeti, except this beast is more like a moseying minstrel. One you might find slinging beers or strumming guitars inside Victoria’s Tavern of the Damned. One you’ve seen alongside the likes of other Victoria music heroes. On wax, Hard Times unspools like a grand tapestry. These songs strike a lingering loneliness that can only be understood through the crashing crescendos.
Des réserves d’hibernation de Johnnie Regalado: (Traduit par la patte d’ours de Geneviève Simard)
L’ours de l’Himalaya est la version côte ouest du Yeti, sauf que cette bête fait davantage penser à un troubadour flâneur. Un de ceux que vous pourriez trouver à Victoria, dans la Tavern of the Damned, en train d’enfiler des bières ou de gratter sa guitare. Un de ceux que vous avez vus graviter aux côtés d’autres héros de la scène musicale de Victoria. Sur disque, Hard Times se déroule comme une imposante tapisserie. Les chansons assènent une solitude persistante qui ne peut être comprise que par le truchement des crescendo qui se fracassent.