From the tangled post-isms of V. Rachel Weldon:
Rather than a long, modernist tangled web, each song on Wanton is its own flippant little narrative, snubbing grandiose post-isms for no-phony pop prose. “Love Solo” walks on air out of the gate, melting wavy distortion over the carefree voice of a young crush. “Owner” is a three-act play, cut into pieces and shuffled around on the floorboards in a burst of creative catharsis. Dynamic, sporadic and unpredictable, the plot progression of Wanton’s closing and (sort-of) title track unfolds alineary, with bursts of conflict on either side of the sandwich meat, a stylistic reversal of its seminal influences. The brothers Grundy have done it again.
Des post-ismes entremêlés de V. Rachel Weldon: (Traduit par le sandwich végé de Nicolas Coutlée)
Plutôt que de former une large toile moderne et intriquée, chaque morceau sur Wanton raconte sa propre petite histoire frivole, préférant aux grandioses post-ismes une prose pop certifiée authentique. « Love Solo » se pavane joyeusement dès les premières enjambées, la voix désinvolte d’un jeune amoureux surfant les vagues de distorsion. « Owner », une pièce en trois actes, est découpée en morceaux et reconfigurée à même les planches dans un élan cathartique de créativité. Dynamique, sporadique et imprévisible, la progression narrative de la chanson finale et (en quelque sorte) titre de Wanton se dévoile de manière non-linéaire, prise en sandwich entre deux feux conflictuels, un revirement stylistique de ses influences séminales. Les frères Grundy frappent encore.