From the creep-surf of Penny Clark:
This album sounds like a slew of demons tearing it up at the biggest house party. On a tropical island. With surfing. During a lightning storm. After an ominous introduction, the album sprints with wicked fast creep-surf riffs, metallic wah wah and cackling vocals. Careening basslines slash through with the fury of a Bash Brother and the pull-no-punches drummer punctuates the joyously vicious lyrics. Screeching guitar feedback glistens alongside their seething rhythms. Closer “Shake” shifts the tone and becomes even noisier, which creates an effect of distance as Hag Face withdraw into the night’s fog.
Du creep-surf de Penny Clark: (Traduit de l’île tropicale de Justine Gabias)
Cet album sonne comme un tas de démons s’envoyant en l’air dans un immense house party. Sur une île tropicale. Avec du surf. Pendant un orage électrique. Après une introduction menaçante, l’album déferle avec des riffs effrénés de creep-surf, du wah wah métallique et une voix crépitante. Les jeux de basse chancelants tranchent avec la furie d’un Bash Brother et la batteuse, qui ne fait pas de quartiers, souligne des paroles joyeusement vicieuses. Le feedback grinçant des guitares miroite aux côtés de leurs rythmes enragés. La piste finale « Shake » change le ton et devient encore plus bruyante, ce qui crée un effet de distance alors que Hag Face se retire dans le brouillard nocturne.