From the reductive hemispheres of Rolf Klausener:
H. de Heutz’ music is a conversation best had in person: eyes unblinking, breathing slow, and as time collapses, cochlea-searing frequencies radiate through rhythmic stabs that yearn to stop your heart, and lay waste to the passive mind. “Tomorrow should be fine” combines unrelenting percussion by other-worldly drummer/vocalist Olivier Fairfield, with caustic high-frequency samples, protest field recordings, and a bass line skipping through intervals darker than India ink. It descends into live audio of bassist/vocalist Nathan Medema discussing public access to protest-related road closures with RCMP officers, before an unforgiving return to the piece’s acerbic closing bars.Par les hémisphères réducteurs de Rolf Klausener: (Traduit par les promenades inconscientes d’ Émily Traichel)
La musique de H. de Heutz est une conversation qu’il vaut mieux avoir en personne: les yeux fixes, le souffle tranquille, et tandis que le temps s’écroule, des fréquences à calciner les cochlées se répandent à travers le rythme poignardant qui aspire à faire arrêter votre cœur, et ravagent l’esprit passif. « Tomorrow should be fine » amalgame une percussion implacable par le batteur/vocaliste venu d’un autre monde, Olivier Fairfield, avec des échantillons caustiques à haute fréquence, des enregistrements de champs de manifestation, et une ligne de basse qui sautille à travers les intervalles plus noirs que l’encre de Chine. La piste penche vers une trame audio du bassiste/vocaliste Nathan Medema qui discute avec des agents de la GRC de l’accès publique aux routes fermées à cause des manifs, suivie d’une reprise impitoyable des dernières mesures acerbes.