From the weathered palms of Kim Edgar:
Grime Kings’ Honeymooning is a companion when your life is falling apart. This album is a reminder that music can so often be an intimate glimpse into the inner workings of someone’s mind. It is cradling a baby bird in your cracked, weathered palms. It’s startlingly easy to get swept up into the crescendos of harmonies that fit like interlocking fingers, in the time signatures, phrasing, rhythms which are always in flux. If this album was an object it would be a light-leaked, slightly out of focus photograph; weathered, faded, and a talisman imbued with all your memories. If this album was a colour it would be a tanned leather yellow.
Des paumes usées de Kim Edgar: (Traduit par le stylo rouillé datant de l’école primaire de Louis-Félix Pellerin de Chevigny)
Honeymooning de Grime Kings est là pour vous lorsque la vie s’effondre. Cet album nous rappelle que bien souvent, la musique est un coup d’œil intime dans l’esprit de quelqu’un. C’est un peu comme de tenir un oisillon au creux de ses paumes usées et craquelées. C’est surprenant à quel point il est facile de se laisser emporter par ce crescendo d’harmonies qui se mêlent à un flux constant de mesures, de phrases et de rythmes, tels des doigts qui s’entrelacent. Si cet album était un objet, ce serait une photo un peu floue avec des fuites de lumière; usée et décolorée, c’est un talisman qui contient tous vos souvenirs. S’il était une couleur, ce serait le jaune cuir tanné.