From the permanent delirium of Trevor Angst:
Genderdog’s waggish debut under Hockey Dad Records is an introvert’s anthem for the neurotic masses. Worry-warted in nature but contemplative of self-doubt, Neurosis Party is a social train wreck’s weeping cry out for help. With a mirthful insanity exacerbated by a failure to cope with life’s stresses; it closes with abrupt, comical, apathetic chatter between split personalities. Transpiring into a neurosis party is beyond the breaking point. It’s surpassing the despondent, unfocused gaze of the thousand yard stare; and insidiously emerges into a permanent delirium of full blown hallucination.Du délire permanent de Trevor Angst: (snorty rant is a bell)
Les débuts facétieux de Genderdog avec « Hockey Dad Records» sont l’hymne d’un introvertie pour les masses névrosées. De sa nature inquiète, mais contemplative dans son ’incertitude, * Neurosis Party* est le cri à l’aide désespéré d’une catastrophe sociale. Le groupe possède une folie insouciante qui est exacerbée par l’échec d’affronter les stress de la vie. La cassette se termine avec un bavardage brusque, comique et apathique entre des doubles personnalités. Se concoctant en une fête de névrosés et allant bien au-delà du point de rupture. Elle dépasse un regard flou et découragé de mille mètres et sort insidieusement dans un délire d’hallucinogène permanent.