From the dystopian despair of Mark Anthony Brennan:
It’s a morass of transistors and steel. An electronic bog from which there is no escape. That unearthly humming could be music of some kind, or maybe just the auditory manifestation of my own psychosis. Wait, is that a voice? It is. It’s either a robot whispering to me or a man hissing down an air duct. Either way, there is no hope. One is an inanimate object, incapable of caring. The other is made of metal. Either way they are a just another cog in this all-consuming machine.
Du désespoir dystopique de Mark Anthony Brennan: (Traduit par Jessica Grenier)
C’est un bourbier d’acier et de transistors. Un marécage électronique duquel on ne peut s’échapper. Ce bourdonnement surnaturel pourrait être un type de musique… ou peut-être juste la manifestation auditive de ma propre psychose.
Attends, c’est une voix? C’est… soit le murmure d’un robot, soit un homme sifflant dans une conduite d’air. Peu importe, il n’y a aucun espoir. L’un est un objet inanimé, incapable d’émotions; l’autre est fait de métal. Et dans les deux cas, ils ne sont qu’un rouage de plus dans cette effroyable machine.