From the horrific road trippage of Taylor Burgess:
Fletcher Pratt used to make sound collages in his early teens using nothing more than a ghettoblaster and its buttons, but years later, armed with a sequencer and electrical engineering expertise, his music is a beast much more sinister. Deathdubs doesn’t flinch. Deathdubs doesn’t even seem human. Throughout five monolithic tracks, three backed by beats too cerebral to be witch house or hip-hop, Pratt casts the shadow-selves of those genres. Resonance sliders, reverb, and digital delay aggressively take the front seat on this horrific road trip, while melodies and song structure are drugged out in the back.De l’horrifique excursionnage routier route de Taylor Burgess: (Traduit par Odile Leclerc)
Fletcher Pratt faisait anciennement des collages de sons tôt dans son adolescence utilisant rien de plus qu’un blaster de ghetto et ses boutons, mais des années plus tard, armé d’un séquenceur et d’expertise d’ingénieur électrique, sa musique est une bête bien plus sinistre. Deathdubs ne se dérobe pas. Deathdubs ne semble même pas humain. Tout au long des cinq pistes monolithiques, trois soutenues par des battements trop cérébrals pour être de la maison de sorcière ou du hip hop, Pratt projette les ombres d’elles-mêmes de ces genres. Des curseurs de résonnance, de réverbérations et d’attentes digitales prennent agressivement le siège avant sur cet horrifique voyage routier, pendant que des mélodies et des structures de chansons sont droguées en arrière.