From the bad-daditude of Jesse Locke:
The Scotch Tapes (Cas)Singles Club launches like a wrist shot straight to the top shelf where grandma keeps the peanut butter. By now, regular readers of Weird Canada should be intimately familiar with the Fist City formula, and once again the razor-wire gtr-punks keep up their sister act with heart-racing panache. After an ear-piercing, amp-squealing intro, "Blow" dissolves into double-speed Daydream Nation sprawl, while the spoken-squawked vocals ring the alarm. Side B sees Southern Alberta brother band The Moby Dicks smudge and fudge through two minutes of B.T.F.O. bad-daditude, as frontman Joel Butler barks out commands over brain-buzzing riffs. Grip it and flip it and flip it again.De la mauvaise papattitude de Jesse Locke: (Traduit par Odile Leclerc)
The Scotch Tapes (Cas)Singles Club se lance comme un coup du poignet directement à l’étagère du haut où grand-maman garde le beurre d’arachide. À l’heure qu’il est, les lecteurs réguliers de Weird Canada devraient être intimement familiers avec la formule de Fist City et encore une fois, les punks gtr sur fil du rasoir maintiennent leur acte de sœur avec un panache excitant. Après un intro perçant aux amplis hurlante, ‘’Blow’’ se dissout en un étalement de Daydream Nation à double vitesse, pendant que les chants gloussés-parlés sonnent l’alarme. Side B voit le groupe frère de l’Alberta du Sud, The Moby Dicks se salirent et se traîner à travers deux minutes de mauvaise papattitude de B.T.F.O., en tant que représentant, Joel Butler jappe des commandes par-dessus les riffs bourdonneuses de cerveau. Saisissez-vous en, tournez le et retournez le encore.