From the softcore erotica of Jesse Locke:
Under the blinding stage lights, Carte blanche aux désirs illuminates Bernardino Femminielli’s complete transformation from levitating shaman to the sexiest man in subterranean show biz. Whether whispering, commanding or crooning in his signature lusty leer, Femminielli’s vocals follow in the Gainsbourg tradition of aged lechery set against an alien chorus and skin-chilling space-scape of pulsating synths. It’s the soundtrack to a future softcore erotica permeating the now thanks to Montreal’s newest tape label, Los Discos Enfantasmes.De l’érotisme soft de Jesse Locke: (Traduit par les frissons de Maya Keshav)
Sous l’éclairage aveuglant de scène, Carte blanche aux désirs illumine la transformation complète de Bernardino Femminielli à partir d’un chaman lévitant pour devenir l’homme le plus canon dans le showbiz souterrain. Soit qu’il chuchote, commande ou chantonne avec son régard caractèristique louche et chaud, le chant de Femminielli suit la tradition de Gainsbourg de la luxure âgée à côté d’un refrain extraterrestre et un paysage éthéré qui donne des frissons construit des synthés pulsants. C’est la bande-son du prochain érotisme soft qui pénètre le moment grâce à le plus nouveau label à Montréal, Los Discos Enfantasmes.