From the feckless newsflash of Simon Petley:
The year: 2052. The headlines relay rumours. Trust is in precarious short supply. One thing is for sure: the primordial stannic sludge has finally begun its ascent from within the planet’s molten core. It has equipped itself with arpeggiators, drum machines, tape loops and shows no signs of holding off until the entire population is shaking their hips in rhythm. It seems almost human in its undulations, more CH3 than C++, certainly. Soon you find the sludge echoing your desires. Anger, passion, and fear plait with gesticulation and form a cord strong enough to drag you across town in a fit of compassion.De la nouvelle inefficace de Simon Petley: (Traduit par la boîte à rythmes de Odile Leclerc)
L’année : 2052. Les grands titres rapportent des rumeurs. La réserve de confiance est moindre et précaire. Une chose est sûre : la boue stannique a finalement commencé son ascension depuis le centre en fusion de la planète. Elle est équipée d’arpégiateurs, de boîtes à rythmes, de cassettes et ne montre aucun signe d’attendre que la population entière secoue leurs hanches au même rythme. Elle semble presque humaine dans les ondulations, plus de CH3 que de C++, certainement. Bientôt, vous trouvez la boue faisant écho à vos désirs. Colère, passion et peur s’entremêlent avec gesticulation et forment une corde assez forte pour vous attirer à travers la ville dans un élan de compassion.