From the kapali carsi of Kevin Hainey:
You can count on Constellation Records to stick wholeheartedly to their thick roots in aching high-brow 90s post-rock, and the return of Esmerine — a staple of Montreal’s post-rock splinter scene — marks prime real estate for expanding the fortress. Esmerine began over a decade ago as the duo of Godspeed You! Black Emperor percussionist Bruce Cawdron and Thee Silver Mt. Zion cellist Rebecca Foon, and has grown into a touring audio/visual quartet. For their latest effort, Dalmak, the band called in an extended host of guests from their home camp (such as Sarah Neufeld and Colin Stetson) and the Turkish grounds where they laid down their bed tracks for this recording. Expanding upon the haunting chamber quartet themes of past albums, Esmerine soak up the Turkish dervish folk flavours with their worldly post-rock epics, and explore further electronic outer realms with gentle, blinking alien ambience. A flowing combination of extended nuances and rollicking caravanserai ensemble pieces, Dalmak captures a group fluttering in refinement, with wings spread wide toward new lands.Du Kapal? Çar?? de Kevin Hainey: (Traduit par Catherine Gaucher)
Vous pouvez compter sur Constellation Records pour respecter corps et âme leurs robustes racines dans un post-rock intello-tourmenté des années 90, et le retour d’Esmerine, un incontournable d’une fraction de la scène post-rock de Montréal, est l’événement de choix pour élargir la forteresse. Esmerine existe depuis plus de dix ans, d’abord en tant que duo formé de Bruce Cawdron, percussionniste de Godspeed You! Black Emperor, et de Rebecca Foon, violoncelliste de Thee Silver Mt. Zion, puis en tant que quatuor audiovisuel en tournée. Pour leur dernier opus, Dalmak, le groupe a fait appel à un vaste étalage d’invités issus de leur camp de base (tels que Sarah Neufeld et Colin Stetson) et issus du sol turc où ils ont coulé les fondations des chansons de l’album. Explorant les thèmes envoûtants de quatuor de chambre de leurs derniers albums, Esmerine a imbibé ses épopées post-rock mondaines des saveurs folkloriques du derviche turc et a exploré plus en profondeur une dimension électronique dans une douce ambiance étrangère. Combinaison coulante de nuances déployées et de morceaux de joyeux ensembles de caravansérail, Dalmak saisit l’essence d’un groupe voltigeant dans le raffinement, les ailes déployées vers de nouveaux territoires.