From the Fantasyland Hotel of Jared Majeski:
What isolation inspires is what Walls captures. A quartet of young non-Mancs beholden to post-performance for an undivided past; mongo-beat slaves in (and to) a sincere place of revisionist zeitgeist. Keaton Bassett lays a thick vocal fabric, multidimensional in a nuclear sunlight — and the light’s brighter. In all ways, music hardened from what might be generations of reflection rings with undisturbed nascency. This sooty pantomime — not time after time, but this time — plays in front and inside us. Slick packaging, Zappa rendition, GRIP.De l’hôtel Fantasyland de Jared Majeski: (Traduit par Odile Leclerc)
Ce que l’isolation inspire c’est ce que Walls capture. Un quartet de jeune non-Mancs redevable à la post-performance pour un passé unanime; un rythme mongo travaille dur dans (et à) une place sincère de révisionniste zeitgeist. Keaton Basset dépose un tissu de vocal épais, multidimensionnel dans la lumière du soleil — et plus brillant dans la lumière. De toutes les façons, de la musique endurcie de ce qui pourrait bien être des cercles de générations de réflexion avec une naissance non troublée. Ce pantomime cendré—pas encore et encore, mais cette fois—joue en face de nous et en nous. Astucieux emballage, interprétation Zappa. SAISISSEZ.