From the sproolian diskos of Aaron Levin:
Emerging as a monolithic, chrome-plated, velvet-wrapped, polyvinyl beacon to our frightening future, Drainolith is leading the vanguard of a new Canadian tradition. It's outrageous to imply the disparate, hallowed murmuring and violent drum-dance to the netherzone as any sort of American primitive, yet Fighting's potency is its gorgeous descent into genre nihilism; a future folk-minimalism augmented with drum machines and metal-zone abandonment, harkening the urgency of creative expression within a world of redacted meaning. Drainolith has forged a terrifying new breed of singer-songwriter. Incredible. Must grip.Du diskos sproolien d’Aaron Levin: (Traduit par le drainolith en polyvinyle de Maya Keshav)
En émergeant en tant que phare monolithique, en chrome, emballé en velours, de polyvinyle à notre avenir éprouvant, Drainolith est en tête de l’avant-garde d’une nouvelle tradition canadienne. Il est monstreux d’insinuer que les marmonnements disparates et bénis et la drum-danse violente de la netherzone est une genre d’américanisme primitif, mais la puissance de Fighting est sa descente merveilleuse dans le nihilisme de genre; un folk-minimalisme de l’avenir intensifié avec les boîtes à rythmes et l’abandon metal-zone, qui rappelle l’urgence de l’expression créative dans un monde de signification rédigée. Drainolith a façonné une nouvelle hybride terrifiante d’auteur-compositeur-interprète. Incroyable. Faut l’acheter.