From the orbiting radar of Adam Bradley:
Awake to this. Drifting in the void, on double-axis spin, a vast dappling of starlight perforates an ocean of black. Oberon delivers us to this, the view of a stone on course through the solar system, a voyeuristic tour of sublimity. It invites us to visit its namesake, a moon of Uranus that orbits some 2,720,000,000 kilometers away from Earth. Using warm synths, software and drum machines, Aaron Dawson (Off The International Radar), chose to approach ambient electronic music with a classical mind. At times channeling Gustav Holst, this suite explores the reaches of epic expanse, liminal space and plain awe.
Du radar en orbite d’ Adam Bradley: (Traduit à 2,720,000,000 kilomètres d’Obéron par Andréanne Dion)
Prenez-en conscience. À la dérive dans le vide, dans une révolution sur deux axes, une immense étendue d’étoiles mouchète un océan de noir. Oberon nous livre ceci, la vue d’une pierre qui traverse le système solaire, une visite voyeuriste de la sublimité. Il nous invite à visiter son homonyme, une lune d’Uranus qui orbite à quelques 2,720,000,000 kilomètres de la terre. À l’aide de synthétiseurs chaleureux, de logiciels et de boîtes à rythmes, Aaron Dawson (de Off The International Radar) choisit d’aborder la musique électronique ambiante avec un esprit classique. Évoquant parfois Gustav Holst, ces morceaux explorent les confins d’une étendue interminable, l’espace frontière et l’émerveillement pur et simple.