From the pallid reflection of Adam Bradley:
Quartz golem wielding a crystal chandelier, baring down on the imp of banality. A sonic mountain growing geometrically forever, piercing the atmosphere and penetrating the tapestry of space-time. Frequencies shuddering and bass creating earthquakes indiscriminately. The cavernous voice of a trapped beast of the deep. Dust-bowl breath, searing eyes, gnashing jaws. Circles of salt, sage burnt in corners, a pallid, sick reflection of a thing that lived before. The walls twist and rend, nerves crackle under skin.
Du reflet blafard d’ Adam Bradley: (Traduit par Jessica Grenier)
Un golem de quartz brandit un chandelier en cristal, dévoilant le diablotin de la banalité. Une montagne sonore géométrique grandit à l’infini, perçant l’atmosphère pour pénétrer la toile spatio-temporelle. Les fréquences frissonnent : une basse crée aveuglément des tremblements de terre. La voix caverneuse d’une bête abyssale emprisonnée : souffle sablonneux, yeux ardents, dents exhibées. Des cercles de sel, de la sauge brûlant dans les coins, le reflet maladif d’une chose ayant déjà vécu. Les murs se tordent puis fendent, les nerfs crépitent sous la peau.