From the dirty specs of Nick Schofield:
Start the soir on swampy lanes alit with skeletal moonshine in the dusty company of Dirty Frigs. The smoking troupe moves slow towards the city glow, draining flasks and bemoaning urban shortfalls in country drawls. Snaking onstage, singer Bri Salmena cranks overdrive eyes and the band begins to pour liquored notes to quiet barking drums, melting patrons wax to the wick’s end.
Spectre tailored their halftime upswung blues with hard cuts to driving tremelo tones on side B of the split EP. Fuzzed amps hew in the wake of plucked axe lines and crooning great-gig guest vox abound during standout tune “On The Telephone.” All alone, fester in au naturel glam-grunge to console your cassette collection’s psychedelic obsession.
Des lunettes sales de Nick Schofield: (Traduit par Andréanne Dion)
Commencez la soirée sur des chemins marécageux éclairés par un clair de lune squelettique en compagnie des poussiéreux Dirty Frigs. Cette troupe enfumée se déplace lentement vers la lueur de la ville et finit ses flasques en se lamentant sur les lacunes urbaines d’une voix campagnarde traînante. Alors que le chanteur Bri Salmena serpente sur scène, ses yeux prennent une lueur excentrique et le groupe commence à verser des notes alcoolisées pour calmer les aboiements de la batterie, brûlant la chandelle des spectateurs jusqu’au bout.
Spectre ont taillé leur blues mi-temps enjoué avec des trémolos sur la face B de l’album split. Les amplificateurs troubles se coupent à la suite des solos de guitares et les invités qui fredonnent sont nombreux sur la remarquable piste « On The Telephone ». Moisissez tout seul sur du glam-grunge au naturel pour réconforter l’obsession psychédélique de votre collection de cassettes.