From the honkey-tonk minimalism of Jared Majeski:
Plodding along the unending hallways and caves of life, we lust for the sedatival inspyrations of happiness slung to the souls, throats and pasts of others. Alex Hungtai stars as Dirty Beaches and has for the past few years laid bare the minimalism that the over-saturated (that’s you!) and inundated generation(s) crave. This new 7” (the haunting “Lone Runner" and a reissue of “Stye Eye”) lets you slink into chicken wire honky-tonk darkness; like reverberated leather, Bakersfield-cum-Nayshville yelps all set to a comfort-drug soundtrack. With two, sometimes three psychedelic tongue-wagging crooners and percussive mutants as accompaniment, it’s time for you to think less, listen more and step out from behind that beautiful shell into the great divide.Du minimalisme honky tonk de Jared Majeski: (Traduit par les cavernes infinies de Maya Keshav)
En marchant dans les couloirs et les cavernes infinis de la vie, on a envie des influences soporyfiques du bonheur dans les âmes, les gorges et les passés des autres. Alex Hungtai est mis en vedette en tant que Dirty Beaches et depuis quelques années il dévoile le minimalisme dont les trop-saturés (c’est toi!) et les générations inondées ont envie. Ce nouveau 7” (le “Lone Runner” obsédant et une reprise de “Stye Eye”) t’enveloppe dans le noir à la grillage honky tonk; comme le cuir réverbéré, Bakersfield-devenu-Nayshville jappe à une bande-son de drogue-confort. Avec deux, parfois trois chantonneurs psychédéliques et les mutants de percussion comme accompagnement, il est temps que tu penses moins, écoutes plus, et sortes de cette belle coquille pour entrer dans le grand vide..