From the twilit haze of Adam Bradley:
Perpetual Surrender is a perfect lounge-pop record. Spun of magenta silk and scintillant sequins, fluid melodies are sown artfully to confident experimentation. Army girl Carmen Elle may at any moment coo coyly to seduce or sharply switch to lashing poignancy. Synths swaddle the mood under winking, starlit skies before yanking guitar solos spill out over the twilit haze. The recordings bear the post-whatever novelty of saxophone weep, punchy drum machine and reverb sass, giving us berth upon a familiar ship to new tropical sands.
Du brouillard crépusculaire d’Adam Bradley: (Traduit par Natalie Binda)
Perpetual Surrender est un disque lounge-pop parfait. Tissées d’une soie magenta et de paillettes scintillantes, de fluides mélodies sont disséminées artistiquement dans une expérimentation pleine d’assurance. À tout moment, Carmen Elle, d’Army girl, pourrait roucouler pudiquement pour séduire ou passer brusquement à une intensité poignante. Les synthétiseurs emmaillotent l’atmosphère sous le clignotement des ciels étoilés avant que les coups secs des solos de guitare débordent sur le brouillard crépusculaire. Les enregistrements supportent l’innovation post-tout des lamentations du saxophone, du dynamisme de la boîte à rythmes et de la réverbération audacieuse, nous donnant couchette sur un navire familier vers de nouveaux sables tropicaux.