From the ethereal cavedom of Simon Frank:
Das Rad are Toronto’s ethereal cavemen. The black denim-clad trio’s wind tunnel rock is equal parts ecstatic chant and muddy trudge. Over rhythmic pummel, bass carries most structure and melody, leaving guitar and vocals to be united in waves of flange. "Silver Latrine" has the perfect title, dragging La Dusseldorf down to a filthy bathroom, while "Vacuum" pressurizes and tightens their approach to point that ghost harmonies emerge within the fuzz. Rad.
Des cavernes éthérées de Simon Frank: (Traduit par les latrines argentées de Stéphanie Trottier)
Das Rad sont les hommes de caverne éthérés de Toronto. Habillé de denim noir, le trio nous présente un rock-ouragan qui est, d’une part, un chant exalté, et d’autre part, une marche pénible dans la boue. Accompagnée de trituration rythmique, la basse est centrale à la structure et à la mélodie, unissant la guitare et les voix par des vagues de brides mécaniques. Silver Latrine est le titre parfait, traînant La Dusseldorf jusqu’à de miteuses salles de bain. Quant à elle, Vacuum exerce de la pression et resserre son approche pour prouver que des harmonies fantômes peuvent bel et bien émerger de la poussière. Radical.