From the modular steamliners of Cassilou Landra:
Like twin steamliners heaving through the restless sea, both sides of this tape from Burro bros Andrew Hume and Whitney Ota (on various “modular/mono/poly/synths, electronics, tapes, junk, noise”) simultaneously exude an airy and naturally ominous but overwhelmingly machinistic environment of aquatic immersion. The foggy drones and steam engine beats peak and rise like smooth brushstrokes, vividly conjuring a poly-mod dream where you’re flying but the sunset is nothing more than a sea of trees. In the end, this isn’t music that tells you anything explicitly, feeds you mantras of life and death, nor tries to teach you a lesson. It simply invites you along on its ominous journey; what you learn and take away from the ride is ultimately up to you.
Des paquebots à vapeur modulaire de Cassilou Landra: (Traduit par la petite barque à l’huile de coude de Louis-Félix Pellerin)
Tel deux paquebots à vapeur identiques fendant les vagues de la mer agitée, les deux côtés de cette cassette concoctée par les Burro bros Andrew Hume et Whitney Ota (à l’aide de différents « modulaire/mono/poly/syntés, électroniques, cassettes, déchets, bruit ») exsudent un spacieux environnement d’immersion aquatique spacieux et naturellement inquiétant, mais aussi excessivement machinal. Les bourdonnements embrumés et les battements de machine à vapeur vont et viennent vers leur apogée tel de fluides coups de pinceau, conjurant avec clarté un rêve poly-modulaire dans lequel vous planez, mais où le coucher de soleil peine à percer la surface d’un océan d’arbres. Finalement, ce n’est pas une musique qui est explicite dans ce qu’elle exprime, qui vous nourrit de mantras de vie ou de mort, ou qui essaie de vous apprendre une leçon. Elle vous invite simplement à faire partie de son périlleux voyage; en fin de compte, ce que vous en retirez dépend de vous.