From the beastly incantations of Joshua Robinson:
Montréal’s Couples cut a vicious rug, and In The Grass is the beastly incantations of the 8-track tape machine that sired it. All raw, no illusion: “I’m sick of this life night after night/Can’t you see I’m on the outside?” Find the most perfect and symmetrical wall, and decorate it with a hole authored by your foot. Be angry because you can be. Find that farcical bit of yourself and expose it for all of its inherent baseness. Dark begets dark, with Couples applauding your near collapse, time and again.
Des incantations bestiales de Joshua Robinson: (Traduit par la maison joviale de Julie Forget)
Le groupe montréalais Couples danse à en arracher les fleurs du tapis et les incantations bestiales de In The Grass, capturées sur magnétophone huit pistes, en sont la cause. Que du brut, pas d’illusion : « Nuit après nuit je ne veux plus de cette vie/Ne vois-tu pas que je ne cadre pas? » Trouvez le mur le plus parfait et symétrique et décorez-le d’un trou gracieuseté de votre pied. Soyez fâché simplement parce que vous le pouvez. Trouvez cette part d’absurdité inhérente en vous et affichez-la au grand jour. La noirceur engendre la noirceur, et Couples applaudit tandis que vous frôlez l’effondrement, encore et encore.