De l’odyssée apocryphe de Benoit Arcand:
Nul code QR n’ouvrira ici une fenêtre pour laisser entrer une fraîche brise de signifiants. Pour entendre l’odyssée apocryphe qu’est Le voyage éternel il faudra ramer la tête en bas, marcher sur le fil d’une lame de fond, puis choir pile dans l’écoutille, entre les orteils de Moloch. L’hyperbole n’aura pas été vaine: avec la plume arrachée au chérubin tu chatouilles maintenant le derrière des sirènes en chantant trash, le monde est trash, valses dans les décombres avec Lazare, épouilles le Minotaure et, tant qu’à y être, reconstitues la titanomachie avec ses arthropodes. Telle est la dimension du labyrinthe sous tes pieds. Le rock s’y révèle dans la clameur de riffs cyclopéens, s’y sublime sous la pression des rythmes saxifrages. Charrie donc ses pépites de bonne nouvelle avec c’te paille jusqu’à l’éclosion de ton substantifique crâne.From the apocryphal odyssey of Benoit Arcand: (Translated by the bottle of Julie Mayer)
No QR code will open a window here to let in a fresh breeze of signifiers. To hear the apocryphal odyssey that is Le voyage éternel, you will have to row upside down, walk the tightrope of a groundswell, then drop right in the hatchway, between Moloch’s toes. This hyperbole won’t have been vain: with the plume snatched out from the cherub you now tickle the mermaids’ bottom while singing trash, the world is trash, waltz with Lazarus among the ruins, delouse the Minotaur and, since you are there, reconstitute the titanomachy with its arthropods. Such is the size of the labyrinth lying under your feet where rock is revealed in a clamour of cyclopean riffs, and sublimated under the pressure of saxifrage rhythms. Carry along its nuggets of good news with this straw until your substantive skull blooms.