From the bottle-cap collection of Johnnie Regalado:
Imagine this: Amplifiers wrestling PAs. XLRs constricting mic stands. Gear and guitar boxes shoved against the far end of a cleared out living room. A swarm of sweaty tattooed shoulders huddled around a few dirty couches. Room temperature beers fished out of a communal cooler, capped and passed. Then the tuning twang and mic check feedback snap the room to attention. Sure, this could be the stage for any shithole basement DIY show. But, what band could capture this euphoria on a five-track cassette tape? Cold Warps of course. A group who managed to tattoo their name onto my ear drums with a chance concert encounter at a radio conference in Kingston, ON. I’ve been a diehard dip tripper ever since. Who knew power pop could be so unforgettable? These songs can transform anyone into a toe-tapping bobble-head.
De la collection de capsules de bouteille de Johnnie Regalado: (Traduit par la tête branlante de Stéphanie Trottier)
Imagine-toi des amplificateurs combattant des systèmes de son. Des fils XLR se resserrant sur des pieds de micro. Des boîtes d’équipement et de guitares empilées de l’autre côté d’un salon vide. Une marée d’épaules tatouées et suantes rassemblées autour de quelques divans sales. Des bières tièdes sorties d’une glacière commune, décapsulées et distribuées. L’accord nasillard et le feedback du réglage du micro rappellent la pièce à l’ordre. Ceci pourrait certes décrire n’importe quel concert maison dans un sous-sol miteux. Mais quel groupe serait capable de capter telle euphorie sur une cassette à 5 pistes? Cold Warps, bien sûr. Un groupe qui a réussi à tatouer son nom sur mes tympans grâce à une rencontre fortuite lors d’un concert à une conférence radio à Kingston, ON. Depuis, je suis un dip tripper fini. Qui eût su que le power pop pouvait être si inoubliable? Ces chansons peuvent transformer qui que ce soit en une poupée à tête branlante qui tape du pied.