From the contorted urbanisms of Joshua Robinson:
Chorus members Don Kennedy and Andrew Roy, formerly of Toronto’s Off the International Radar, return as drone kings ruling over a Black Paradise. Their domain, one steeped in the thick and heavy ambience of the sepulchral night, is one of regeneration; cyclical spans of beginnings and ends collapsing in on themselves, birthing narratives that are repetitions of form, but sung in a new tongue. Where Off the International Radar possessed an innate lightness of being, Chorus exists as the tonal alter-ego of its brighter post-rock forbearer. Their music is born of the endless evening; of that precarious precipice demarcating the end of the beginning and the beginning of the end. Massivity as ambience, and the caged growl of a city contorted to show its upside-downs and inside-outs, Chorus dismantle the stasis of drone and turn it on itself to invigorate the quiet pulse of our softer moods.
Des urbanismes contorsionnés de Joshua Robinson: (Traduit par Andréanne Dion)
Don Kennedy et Andrew Roy, les membres de Chorus, anciennement du groupe Torontois Off the International Radar, reviennent en tant que rois du bourdonnement, régnant sur un Black Paradise. Leur domaine, imprégné de l’ambiance épaisse et lourde d’une nuit caverneuse, en est un de régénération : des débuts et de fins qui s’écroulent sur eux-mêmes de façon cyclique, donnant naissance à des récits qui se renouvellent, mais qui sont chantés dans une nouvelle langue. Alors que Off the International Radar possédait une légèreté d’être naturelle, Chorus est l’alter-ego tonal de son plus léger prédécesseur. Leur musique est née d’une soirée sans fin, de ce précipice précaire qui marque la fin du début et le début de la fin. Une ambiance énorme et le grognement captif d’une ville contorsionnée pour montrer ses envers, Chorus démantèle l’inertie du bourdonnement et retourne le genre sur lui-même pour revigorer le pouls silencieux de nos humeurs les plus douces.