From the keyboard of Alex Moskos:
Victoriaville is known as the home of the last manufacturer of wood hockey sticks (they make ‘em with a composite material now). It’s where Merzbow tells you not to smoke in the visitor’s dressing room of a hockey rink (yup). They claim there, like every town east of Montreal, that they invented poutine. Also, Victoriaville is from whence comes our man Charles Barabé. The only way to describe this cassette is “monumental”. The centrifugal compositional force throughout his set of monstrous pillars of tone and evened synthesis around which dance other sounds, field recordings, what have you. If they were architecture in downtown Montreal a bank would own them and I’d skate the things: marble stairs and straight, shiny ledges. Since I couldn’t get my sorry act together to hoof it uptown to get a physical copy, I had to listen off of bandcamp. My jank setup had the Internet throwing me mad shade in the form of French toothpaste ads with a lady talking about gum disease while some awful tune crashed around behind. Not really what I need while I’m checking out Barabé.Du clavier d’ Alex Moskos: (Traduit chic and swell par Nicolas Coutlée) Victoriaville abrite la dernière usine de bâtons de hockey en bois (on les fabrique maintenant en matériau composite). C’est là où Merzbow m’a déjà dit de ne pas fumer dans un vestiaire d’aréna (ouaip). Et comme toute municipalité à l’est de Montréal, ses habitants revendiquent la paternité de la poutine. C’est aussi de Victoriaville que vient notre homme, Charles Barabé. Le seul qualificatif qui convienne à cette cassette est « monumentale ». La composition s’articule autour d’une force centrifuge de piliers toniques monstrueux et de synthé régulier autour desquels dansent d’autres sons, des enregistrements divers, alouette. S’il s’agissait d’un bâtiment du centre-ville de Montréal, il appartiendrait à une banque et je le parcourrais en patins : escaliers de marbre et corniches droites et reluisantes. Comme je ne suis pas parvenu à me bouger le cul pour mettre la main sur une copie, j’ai dû l’écouter sur Bandcamp. Mon ordi de merde s’est laissé bombardé de pubs de dentifrice avec une femme parlant de maladie de gencive sur une horrible mélodie. Pas exactement ce dont j’ai besoin quand j’écoute du Barabé.