From the gas-soaked torch of Christopher Laramee:
Having evolved from the one-man band of Pete Grier into a four-piece, Caves gets pastoral quick on this full-length. Think Flying Saucer Attack’s rural drip-gaze nuzzling up to Yo La Tengo’s midnight skyline drone anthems. “Concrete Teeth” drowns in its own gooey dub treatments, indistinct vocal lines swirling into the keyboard and guitar loops whilst achieving full infinity with a shrug. The overall effect of this laid-back listen is a wonderful assimilation rather than a hobbled clobber over the skull. Pleasant, distant and kinda threatening like driving around the suburbs at dusk. Some fine bleed for the last drink before bed. Geez, now I’m thirsty!Du flambeau trempé de gaz de Christopher Laramee: (Traduit par le dernier mot de Maya Keshav)
Ayant évolué de l’homme-orchestre de Pete Grier en quartette, Caves devient bucolique avec ce long-métrage. Imaginez le drip-gaze rural de Flying Saucer Attack qui fait un câlin aux hymnes horizon-minuit de drone de Yo La Tengo. “Concrete Teeth” se vautre dans ses propres traitements dub sirupeux, les mélodies floues du chant tourbillonnent dans le clavier et les boucles de guitare pendant qu’elles atteignent l’infini complet avec un haussement d’épaules. L’effet global de cette écoute détendue est une assimilation merveilleuse à la place d’un tabassage sur le crâne. C’est agréable, lointain, et un peu menaçant, comme conduire dans le banlieu au crépuscule. C’est une boisson parfaite pour la dernière gorgée avant qu’on se couche. Tabarnouette, maintenant j’ai soif!